Pas de leçon de vocabulaire aujourd'hui. Je n'ai pas grand chose à raconter de plus sur la Belgique, à part que personne à la gare de scarbéék n'a su me dire pourquoi mon sacré train ne s'était pas arrêté dans la bonne gare. Rien de bien intéressant donc. Mon post de ce soir aura donc une tonalité romantico-surréalo-romanesco de gare si vous le voulez bien quoi.
Un voyage à l'étranger constitue, à mon sens, le meilleur moyen d'éprouver notre patience. Pour ma part, j'ai l'occasion de mettre en pratique ceci: ne pas s'arrêter lorsque les choses deviennent difficiles mais au contraire, puiser en Dieu la force de surmonter les obstacles. Il se passe des choses étranges lorsque l'on est privé de nos repères. On est obligés de chercher des ressources très profondément en nous, de s'abandonner à l'inconnu, de tout remettre en question.
Pas facile d'escalader la montagne...
Un voyage à l'étranger constitue, à mon sens, le meilleur moyen d'éprouver notre patience. Pour ma part, j'ai l'occasion de mettre en pratique ceci: ne pas s'arrêter lorsque les choses deviennent difficiles mais au contraire, puiser en Dieu la force de surmonter les obstacles. Il se passe des choses étranges lorsque l'on est privé de nos repères. On est obligés de chercher des ressources très profondément en nous, de s'abandonner à l'inconnu, de tout remettre en question.
Pas facile d'escalader la montagne...
je réagis sur les spéculos, c'est tellement bon...il a fallu que j'aille dans un magasin allemand/norvégien je ne sais pas trop en fait pour en trouver...Quand on est à l'étranger,c'est toujours des petites choses qu'il nous manque! Bises Nelly!! Have fun.
RépondreSupprimerPauline